-ET BAH TANT MIEUX! MAINTENANT ELLE NE PEUT PLUS SE CACHER! ALLEZ YUKI, MONTRE NOUS TON VRAI VISAGE! MOI JE TE MONTRE LE MIEN! TU VEUX SAVOIR CE QUE MOI JE NE SAIT PAS SUR MOI?! VOILA CE QUE JE SAIS, J'AI DEJA TUER, PLUSIEURS FOIS, JE VOIS CE QUI VA CE PASSER, CE QUI PEUT CE PASSER, J'AI EU UNE RELATION, AMICALE OU PAS AVEC UNE DENOME ERIK DONT JE NE SAIS RIEN D'AUTRE ET J'AI HORREUR DE NE RIEN SAVOIR SUR MOI!
Jen' partie en courant les larmes aux yeux. Lezaza n'avait pas bien comprit la dernière phrase mais il ne se posa pas de questions. De toute façon, quels question aurait t-il pus se poser. Lorsque nous étions "là bas", il n'avait jamais eu l’occasion de le rencontrer. Contrairement à moi... Lui aussi partit en se téléportant quelques seconde après, on voyait bien qu'il était troublé. Mais là, niveau choque, je crois que je frisais le record mondial. Bon d'accord je m'en était douté mais de là à se qu'elle me le cris à la figure c'était un petit peu "to mutch" si vous voyez se que je veux dire. Alors même si personne ne l'avait remarqué, j'étais complètement figé sur place. Avec personne aux alentours pour me "réveiller". Pourquoi un tel état de choc? Et bien si je vous le révélé maintenant, le moment venue ne serait plus une surprise.
Des larmes commencèrent à couler de mes yeux et toute ma frustration, toute ma peur et toute ma colère s'exprimèrent en un cris de détresse si puissant que l'école aurait très bien pus s'écrouler. Puis mes muscles me lâchèrent et je m'écroulai à terre. Tout n'était plus que solitude et froideur. Les ombres de mes sombres pensées chantaient la clameur de mes méfaits, se moquant de toutes mes décisions. Apercevant une petite lueur suivit d'une main tendu, je l’attrape et la prend comme une nouvelle chance.
-Yuki, tu vas bien? J'ai crus que tu allait mourir. On a entendu se cris et puis je t'ai trouvé par terre, ton pouls était très faible. Tu ma fait une de ses frayeur!
Après un rêve très étrange et au même temps si douloureux mes yeux eurent du mal à s'adapter à la lumière mais cette voie... parmi temps d'autres il était très dure de ne pas la reconnaitre. Ma précieuse béquille depuis toujours... Eva. Vérifiant que personne ne se tenait aux alentour sauf notre chère infirmière toujours présente pour ses malades. Mes yeux demandait pitié pendant que je présentais la dure réalité à Eva.
-C'est elle, la fille... celle qu'il n’a eu de cesse à vouloir la retrouver...
Cependant mes yeux m'avaient trahis et nous n'étions pas seul dans cette pièce....